Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855. Figure majeure du romantisme français, le « plus pur des écrivains romantiques de la France » selon Georges Gusdorf, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu (1854), recueil de nouvelles qui comprend Sylvie et les sonnets Les Chimères, et sa nouvelle Aurélia publiée en 1855. Il a aussi publié un récit de voyage, le Voyage en Orient (1851).
Dans l'affection que je vous porte, il y a trop de passé pour qu'il n'y ait pas beaucoup d'avenir.
Amour - 15/20
Notre pauvre lune de miel n'a guère eu qu'un premier quartier...
Amour - 15/20
O Mort, où est la victoire ?
Mort - 15/20
Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé, Le Prince d'Aquitaine à la tour abolie : Ma seule Etoile est morte, et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
Poésie - 16/20
Je suis un fainéant, bohème, journaliste, Qui dîne d'un bon mot étalé sur son pain.
Poésie - 14/20
L'expérience de chacun est le trésor de tous.
Savoir - 16/20
Est-il besoin de se connaître pour se chercher ?
Spiritualité - 16/20
Les illusions tombent l'une après l'autre, comme les écorces d'un fruit, et le fruit, c'est l'expérience. Sa saveur est amère.
Vie Pratique - 17/20
Le Rêve est une seconde vie. Je n'ai pu percer sans frémir ces portes d'ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible.
Vie Pratique - 15/20
Il y a toujours quelque niaiserie à trop respecter les femmes.
Vie Pratique - 15/20
Dans les rêves, on ne voit jamais le soleil, bien qu’on ait souvent la perception d’une clarté beaucoup plus vive. Les objets et les corps sont lumineux par eux-mêmes.
Vie Pratique - 14/20
J'arrange volontiers ma vie comme un roman, les moindres désaccords me choquent.
Vie Pratique - 15/20