Léa France Gourdji, dite Françoise Giroud, née le 21 septembre 1916 à Lausanne, en Suisse, et morte le 19 janvier 2003 à l'hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine, est une journaliste, écrivaine et femme politique française. Son pseudonyme de Françoise « Giroud », quasi anagramme de Gourdji, que lui avait inventé Maurice Diamant-Berger pour travailler à la radio vers 1938, devient officiellement son nom par un décret paru au Journal officiel le 12 juillet 1964. Vice-présidente du Parti radical et de l'UDF, elle a été deux fois secrétaire d’État et fut une personnalité majeure de la presse française.
La femme sera l'égale de l'homme le jour où à un poste important, on désignera une femme incompétente.
Humour - 17/20
Ce n'est pas la peine pour un journaliste d'avoir du talent à la cinquième ligne si le lecteur ne dépasse pas la troisième.
Humour - 14/20
Rien n'est jamais joué si l'on se refuse à subir.
Politique et économie - 16/20
C'est un drôle de pays, la France, où les négociations ont toujours lieu après le déclenchement des grèves et non avant.
Politique et économie - 14/20
Bonheur : faire ce que l'on veut et vouloir ce que l'on fait.
Sagesse - 16/20
Ecrire, j'y arrive encore. Vivre, cela me paraît de plus en plus superflu.
Sens de la vie - 14/20
Quand on a du temps pour tout, on ne fait plus rien. Le travail structure, l’absence de travail déstructure. Le loisir à foison n’est pas l’idée que je me fais du bonheur d’être.
Temps - 15/20
On ne donne pas la vie. On la transmet.
Vie Pratique - 16/20
C'est voluptueux, de ranger ; mais c'est tuant.
Vie Pratique - 13/20
Garçon ou fille, homme ou femme, il n'y a que des individus fiables ou non.
Vie Pratique - 16/20