Pieyre De Mandiargues, André (2)
André Pieyre de Mandiargues est souvent considéré comme un écrivain surréaliste, et, même s'il le rejoint sur certains aspects, il ne pourrait y être totalement rattaché. De fait, il est aussi membre inavoué du romantisme noir et constitue l'un des derniers représentants du symbolisme. De nationalité française, il est né le 14 mars 1909 à Paris, où il meurt le 13 décembre 1991. Son œuvre comprend des poèmes, des contes et des romans (notamment Le Musée noir, en 1946, Soleil des loups, en 1951 et Feu de braise, en 1959), des essais sur l'art et la littérature, des pièces de théâtre (Isabella Morra, 1973), des recueils de poèmes (L'Âge de craie, 1961) ainsi que des traductions. Il a également reçu le Prix Goncourt en 1967 pour son roman La Marge, et le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1979.
Il est un degré dans le vierge et le pur, qui par son excès peut faire peur.
Morale - 17/20
Il a quelque chose de singulièrement actuel (par rapport au temps) dans un beau sourire, quoique certaines personnes ne puissent voir des dents sans penser à la mort.
Mort - 14/20